jeudi 24 septembre 2015

Ivre, il retranscrit la vie de Jean-Luc Lahaye dans les comics Iron-Man.

Si Elon Musk a inspiré le Tony Stark du cinéma, et Howard Hughes celui des origines, c'est sans conteste un artiste bien moins américain qui a nourri la personnalité du héros pendant les années 80. Attention, le récit qui va suivre peut paraître tiré par les cheveux, mais il est on ne peut plus authentique, donc soyez attentifs.

David Michelinie. Ce nom ne vous dit rien ? Il s'agit de l'auteur des comics Iron-man de 1978 à 1989, ainsi que dans les années 2000. Ce boulot fut le premier que Marvel Comics lui ait offert après qu'il ait quitté DC Comics. Au début, tout était compliqué pour David, car il avait du mal à cerner le personnage de Tony Stark. Jusqu'à l'été 1979 où tout changea brusquement. Cette année-là, il décide de prendre une pause à la Française et découvre ainsi l'auteur qui relancera sa carrière : Jean-Luc Lahaye aka JLL aka "Je fais du 15 ans".
En effet, cette fameuse année, JLL sort son premier 45 tours "Pascal et Cécile", et devinez comment s'appelaient les parents de ce bon vieux David ? Jonathan et Ilana mais bon... BREF ! David Michelinie tombe sur ce 45 tours et décide de l'écouter en rentrant dans sa chambre d'hôtel. Immédiatement, quelque chose s'éveille en lui. L'auteur décide alors de rencontrer le chanteur. Après de nombreuses recherches, les deux hommes se rencontrent par le biais de Gérard Pedron, le producteur de JLL, au KossBar et échangent durant de longues heures sur divers sujets tels que la politique, la pétanque, la pédophilie philosophie, la passion et autres passe-temps. Et 1,6 grammes dans le sang plus tard, l'auteur eut l'idée qui changera sa carrière et révolutionnera Marvel Comics ainsi que la bande dessiné Iron Man, prendre son calepin et noter toutes les anecdotes possible sur la vie de JLL que ce soit son enfance, le nom de sa copine, son épice préférée, son goût pour le l'alcool etc...
Ainsi, 17 heures plus tard et l'esprit embué par l'alcool, il décide de changer Tony Stark en ajoutant 3 choses à sa personnalité et à son entourage (bon en mode marseillais américain quand même...) :
1) Michelinie découvre que JLL était un enfant de la DDAS ET BIM : Tony Stark devient orphelin.
2) L'épice préféré de JLL était le poivre et sa première copine était rousse et son père cultivait de l'herbe ET BAM : Tony Stark obtient ainsi sa Pepper Potts
3) Lors de leur rencontre JLL confia à Michelinie son goût pour les jeunes filles femmes ET BOUM : Tony Stark devient un véritable playboy.

Lors de leur dernière rencontre, le 18juillet 1983, JLL invita Michelinie dans sa "Lahaye Tour", comme il l'appelait, afin de lui montrer comment il arrivait à faire sortir son génie dans ses chansons. Ce fut également ainsi que Michelinie découvrit "La Rôtisserie", le fameux sous-sol où travaillait JLL dans le plus grand des secrets.
De cette dernière rencontre Michelinie en tira la "Stark Tower" ainsi que "La Forge" (parce que La Rôtisserie c'est pas si ouf que ça comme nom...) et les fameuses techniques de travail de JLL qui consistaient à faire semblant de faire bouger des notes de musiques imaginaires en l'air pour obtenir une "chanson".

(Photo réalisé sans trucages ni Paint)


Suite à cette ultime rencontre, Michelinie sombra dans la dépression et l'alcoolisme, qu'il retranscrivit chez son personnage, et se lança curieusement dans une lutte contre le viol. Depuis, il refuse de retourner en France et de parler de cette source d'inspiration intriguante. Sa dernière réaction à l'écoute du nom de Jean-Luc Lahaye fut "Whaaaaaaat ??! What is a "Jean-Luc Lahaye" ? Cheese ? Wine ? A f*cking french rapist ?!"

Comme quoi, de nos jours la trace de notre JLL ne se retrouve pas que dans chez les adolescentes.

dimanche 20 septembre 2015

Dora l'exploratrice : la preuve que Chipeur est un agent des stups depuis le début

S'il existe bien une oeuvre moderne qui fascine et interroge, c'est Dora l'Exploratrice. Si ce dessin animé coloré semble a priori s'adresser à un très jeune public, en mêlant intrigues simples et cours de langues ludiques, il présente, comme bien souvent, un sous-texte plus sombre et adulte afin d'interpeller toutes les générations. En revanche, là où ce programme se détache du reste de la production de divertissements pour jeune public, c'est dans l'incroyable méticulosité avec laquelle ses auteurs ont construit une intrigue fil rouge troublante de noirceur, alors même qu'ils étaient indubitablement conscient que l'énorme majorité des spectateurs ne s'en rendrait pas compte !
Afin de vous éclairer, mais aussi de rendre hommage à cette oeuvre de l'ombre majeure qu'est la mythologie Dora l'Exploratrice, je vous propose dans ce qui suit de vous mettre dans la confidence...


I) Le vrai métier de Dora :

La première chose qui frappe l'analyste éclairé lors de l'étude des aventures de Dora, c'est la volonté forte et louable de leurs scénaristes de dénoncer l'exploitation des enfants à des fins criminelles. Ici, on suit le quotidien de Dora Marquez, fillette de 8 ans sacrifiée sur l'autel des ambitions démesurées de ses aînés, qui resteront longtemps anonymes dans la série, à la façon d'une entité présente mais invisible, quasi-démiurge, dont les décisions font loi dans l'univers de la petite fille. Les Marquez, de manière évidente, représentent un vaste cartel de trafiquants de drogue. Si immoraux qu'ils osent faire accomplir des tâches de coursiers à tous les membres mineures de la famille, sans doute car ils encourent des peines moins graves que leurs parents. Armés seulement de leurs sacs à dos (chargés de "trucs et de bricoles", selon la formule consacrée) et de papiers à l'authenticité douteuse (la Carte manque un peu de précision), aussi bien Dora que ses cousins Diego ou Danyl Ramires, vont très régulièrement transporter des colis sur des kilomètres, sans aucune surveillance.
Un élément frappant qui étaye cette analyse, c'est la récurrence du thème du "passage". Que ce soit une barrière, un pont ou une rivière, Dora devra franchir cet obstacle symbolique dans presque chacune de ses "aventures". Ce passage, ne nous le cachons pas, c'est la frontière qui sépare le Mexique et les USA. La pauvre petite Dora devra d'ailleurs souvent faire preuve d'astuce et de persuasion pour la franchir, notamment lorsqu'elle est confrontée aux "passeurs" : si Tico l'écureuil remplit cette fonction comme un amalgame de tous les routiers bienveillants qui acceptent de cacher l'enfant dans leurs véhicules, le personnage du Lutin Grognon est toujours plus difficile à convaincre ! Aux travers de ses énigmes, on reconnait bien là le caractère inquisiteur d'un agent des douanes, qui met notre héroïne à l'épreuve avant de lui permettre de poursuivre son voyage. Le Lutin Grognon sera ensuite invariablement grugé, trompé, convaincu ou soudoyé, et c'est bien ce dernier point l'aspect le plus sinistre de cet univers. A votre avis, pourquoi Pompon le Lutin est-il toujours représenté entièrement nu sous sa barbe ?



Véra le varan, Totor le taureau... Les Marquez ne manquent de pas de clients, qu'ils fassent partie du show-biz (Véra) ou qu'ils s'agissent de gangsters bien moins recommandables aux pulsions parfois violentes (Totor). Dora devra aller à leur rencontre à tous afin de collecter les "étoiles dorés" dont elles ne comprend pas bien la valeur véritable. Son aisance dans plusieurs langues ne fera que se développer alors qu'elle perpétue sa besogne.
Il faut bien comprendre que l'histoire toute entière nous est contée du point de vue de Dora elle-même. Elle ne saisit pas bien ce qu'elle vit, et l'exposition prolongée aux drogues qu'elle transporte aussi bien que la solitude extrême et traumatisante qu'elle vit la poussera à se créer une vision déformée et magique de son univers. C'est cette vision étrange et métaphorique qui nous parvient et qu'il convient de décrypter.


II) Le cas Chipeur :

Le seul personnage qui semble constituer une figure d'antagoniste à ce sinistre marché est bien entendu Chipeur le renard. Et si, en réalité, Chipeur était le vrai héros de cette histoire ? Et si le drame qui se nouait sous nos yeux était le sien, sa descente aux enfers ?

Plusieurs indices semblent signifier que Chipeur était à la base un agent des forces de l'ordre, et tout particulièrement de la lutte anti-drogue, chargé d'infiltrer le cartel Marquez afin de le détruire de l'intérieur. Sa mission, il choisit de l'accomplir sous couverture (d'où le symbole du masque) en confisquant de manière systématique la cargaison de Dora. C'est cela qui explique pourquoi il bat en retraite dès qu'il se sait repéré (il ne peut risquer sa couverture) et qu'il se débarrasse immédiatement de tout ce qu'il arrive à dérober (car il ne le fait pas pour son propre profit).
Malheureusement pour lui, son intégrité de départ va vite s'effacer...
On peut supposer que c'est le fait d'avoir à piéger une enfant qui suscita en lui ses premiers dilemmes moraux, ou peut-être la crise d'identité induite par sa couverture. Quoiqu'il en soit, on le verra souvent abandonner sa mission et ses responsabilités, comme dans l'épisode "L'anniversaire de Chipeur" où il noue des liens contre nature avec toute la clientèle des Marquez. Ou bien, pire encore, dans l'épisode "Chipeur l'explorateur", ou il prendra carrément la place de Dora dans le trafic.
Mais l'exemple le plus accablant de la perte de repère de Chipeur demeure l'intrigue de "Dora autour du Monde", où il trahira les forces de l'ordre en aidant Dora à identifier tous les agents des stups infiltrés dans les filières internationales des Marquez, mettant ainsi en grand danger Chipie la mouffette, Chipoie la hyène, Chipka l'ours ou encore Chiping la belette (respectivement infiltrés en France, Tanzanie, Russie et Chine) ! Il ira même, au cours de cette période, jusqu'à restituer les drogues qu'il était parvenues à saisir jusque là.

III) Babouche existe-t-il ?

Vous avez sans doute remarqué que je n'ai pas encore abordé le cas de Babouche, le simiesque et sautillant compagnon et garde du corps de Dora. C'est simplement car sa nature, et son existence même, n'ont à ce jour pas encore été définies dans la série. Son cas est très symptomatique du rapport étrange au réel de l'oeuvre toute entière.
Initialement, nous avons une petite fille qui déforme son univers pour en occulter les aspects les plus traumatisants. Ensuite, un personnage sain d'esprit extérieur, Chipeur, va y pénétrer contre son gré, et, progressivement, être happé corps et âme à l'intérieur. Il est fort probable que Chipeur finisse par voir le monde de la même manière que Dora (puisqu'il est même prêt à assumer les mêmes fonctions).
Ajoutez à cela l'influence la plus forte mais aussi la plus étrange de l'univers de Dora : nous. Le spectateur, symbolisé par cette flèche bleue qui agit à la fois sur l'environnement de Dora, mais aussi sur ses décisions !

En regardant Dora l'Exploratrice, nous devenons les acteurs passifs de la réalisation nihiliste de la non-existence du libre arbitre que vit l'enfant livrée à elle-même dans un monde d'adultes.



samedi 5 septembre 2015

Le jour où Pocahontas ouvrit la boite de Pandora




Il existe de ces films qu'il ne nous est pas autorisé à critiquer. Des films plébiscités pas la critique, révolutionnaires par leur authenticité, leur aspect innovant ou la beauté de leurs effets spéciaux. Ces soit-disant chefs d'oeuvre, presque devenus sacrés auprès d'une certaine tranche d'age, sont intouchables pour la plupart. Ce soir, Axman et Tamerlan, brisons tous les tabous. Descendez de vos grands chevaux (ou de votre Ikran) et Welcome in the Na'vi ! (ntm: Et allez vous faire foutre !)
James Cameron, réalisateur dont le talent n'est plus à remettre en doute, a sublimé Titanic, Terminator ou encore Alien, le retour. Ce premier film bat tous les précédents records, atteignant sans difficulté le titre de plus grand succès au box office. Ce fameux titre, désormais révolu, fut un pâle succès en comparaison au chef d'oeuvre de Cameron le plus apprécié.
Avatar est un film exceptionnel, aucun doute ne subsiste. Autant par la beauté des effets spéciaux, des images et de l'univers, il nous plonge dans un monde que nous ne voudrions jamais quitter. Tant de nouvelles idées, de concepts inédits, de dialogues profonds et de romantisme nous font pétiller les yeux (ntm: et nous laissent sur le cul). Seulement, les premiers émois passés, nous nous rendons rapidement compte que tout ce qui est vraiment exceptionnel dans Avatar, n'est qu'un remake d'une histoire que nous connaissions depuis bien plus longtemps. Si vous ne l'avez pas remarqué, rien n'était pourtant très subtil (ntm: vous êtes idiots). Laissons places aux explications.

Tout commence avec un homme séduisant, dont l'aspect premier appelle à un caractère plus profond. Jake Sully, dont le prénom est issu du diminutif anglo-saxon de John (ntm: comme de par hasard) est un soldat. Ses cicatrices de guerre sont ancrées en lui, autant sur le point physique (son handicap) que sur le point psychologique. Pour l'instant, ce personnage promet d'être intéressant, mais n'est pas particulièrement révolutionnaire. L'histoire se met en place. Jake part pour un nouveau monde, jamais ou très partiellement visité auparavant, aux côtés d'une armée de colons dont il fait partie. Après un voyage épuisant, Jake met les pieds sur Pandora, une planète (ntm: c'est une lune sale inculte! Tu critiques toujours tout sans jamais rien connaître hein ?) recouverte d'une jungle luxuriante et sauvage. À première vue déserte de toute activité humanoïde, Pandora se révèle être un véritable trésor en matière de faune et de flore pour les nouveaux venus. Se croyant chez eux, ces (ntm: enfoirés de) colons s'installent. Contrairement à ce que nous pensions au début du film, les Terriens ne sont pas ici en observateurs scientifiques, mais pour extraire une ressource essentielle au développement économique des pays colonisateurs de l'époque. (ntm: De l'or ? De nouveaux légumes, fruits, épices, médicaments ou bétails ?) Presque, de l'unobtanium.
Rapidement, ces (ntm: pourris d'Européens) Terriens se rendent compte de leur terrible erreur. Ce n'est pas parce qu'on plante son drapeau quelque part, que ce lieu nous appartient pour autant. (ntm: euh... on parle toujours du film là ?) Pandora est habitée par une espèce humanoïde autochtone à l'intelligence développée (ntm: tu rigoles ? Ces animaux ? Regarde la couleur de leur peau ! Ils ne parlent même pas une vraie langue, écoute-les !). Ces animaux donc, les Na'vi n'entendent pas se laisser dépouiller sans réagir. Après tout, qui sont ces intrus qui les envahissent ? (ntm: la race supérieure, tout simplement).
En parallèle de l'aspect "politique", Jake, en bon ignorant, part en expédition scientifique. Il tombe alors sur Neytiri l'indigène, qui le sauve in-extremis des dangers du nouveau monde. Neytiri se méfie du colon, mais alors qu'elle écoute les messages d'Eywa, leur dieu-arbre, elle décide de le conduire à son peuple, dont elle est la fille du grand chef, Eytukan. Contrairement à son peuple, Neytiri voit en Jake un être sensible, intelligent et bon. Elle en fait son allié et son confident, en lui expliquant tous les magnifiques secrets de Pandora, protégée par la divinité de la Nature.
Mais les colons perdent patience. Ils ne parviennent pas à soutirer la richesse des Na'vi par la diplomatie, et décident d'utiliser la force. (ntm: Ils leur offrent de douces et chaudes couvertures contaminées par la Polio ?) Quoi ? Non, pas du tout. (ntm: Ils les affament en exterminant leur première source d'alimentation, les bisons ?) Mais où tu vas chercher tout ça Tamerlan ? (ntm: Ils les assassinent ?) Ah, là tu y es ! Les colons décident d'anéantir l'espèce Na'vi. Contre toute attente, lorsque la bataille éclate, Jake choisit son camp. Il se range du côté des autochtones !
Les indigènes utilisent tout ce qu'ils possèdent pour sauver leur Nature. Aidés de Jake et de quelques déviants, ils parviennent à repousser l'envahisseur. Pandora est sauve ! (ntm: mais pour combien de temps ?)

Vous connaissez le principe désormais. Je vous explique qui est qui, puis vous reliez la partie centrale, et vous verrez par vous-même !
Je crois que comme moi, vous ne voyez que très peu de distinctions entre le soldat colon Jake Sully, et le soldat colon John Smith dont les noms sont très proches. Dans Pocahontas, les colons Européens arrivent sur le nouveau monde pour piller l'or et les ressources premières des Amérindiens. Ici, les colons Terriens arrivent sur le nouveau monde pour piller la richesse première des Na'vi. Il est clair que Pandora symbolise les Amériques, avec ses ressources inédites, ses multiples richesses, sa fascinante flore et terrifiante faune. Les Na'vi d'ailleurs, sont grands, minces et d'une couleur de peau très marquante. (ntm: dit que les indiens d'Amérique sont bleus aussi ! Enfin, ETAIENT ahah !) Tout comme les natifs de Pocahontas, ils ne sont pas prêt à se laisser marcher sur les pieds (ntm: J'ai dis ETAIENT parce que là, on les a tous tués les indiens d'Amérique hein ! T'avais compris ? ahah ! Humour !). Tamerlan, là ça devient limite. Bref, Jake/John tombe rapidement amoureux d'une indigène vivant là-bas. Ici, la magnifique native est appelée Neytiri, mais son aspect et son rang rappellent fortement ceux de la princesse Pocahontas. Grâce à leur amour extraordinaire, ils vont tenter de calmer les tensions entre leurs peuples respectifs. Vous voyez le lien quand même ? (ntm; sinon, achetez-vous des yeux les gars !) Parlons d'Eywa maintenant. La déesse de Pandora,  confidente et conseillère de Neytiri/Pocahontas est présentée sous la forme d'un arbre aux feuilles tombantes. (ntm: Grand-mère Feuillage ?!)
Accélérons. Powhatan et Eytukan sont tous les deux chefs d'une tribu autochtone (et leurs noms sont aussi très proches). Neytiri et Pocahontas doivent toutes les deux se marier au meilleur guerrier de la tribu, Tsu'tey et Kocoum, par qui Jake et John seront perçus comme de terribles ennemis. Le chef des colons Colonel Quaritch/Gouverneur Ratcliffe est un homme blanc (ntm: enfin un être appréciable) et avide de richesse. Jake et John retournent tous les deux leur veste pour se battre aux côtés des bons, et y laissent quelques plumes. Finalement, les gentils gagnent ! (ntm: ouais, là t'abuses sur les comparaisons par contre.)

Alors ? Convaincus ? Avatar ne paraît plus vraiment être une histoire extraordinaire, n'est-ce pas ? (ntm: continuez à vous voiler la face, bande de moutons). James Cameron aurait-il été en manque d'inspiration ? Tamerlan et moi vous laissons ruminer "en paix". Pleurez, criez, arrachez-vous les cheveux et si ce sentiment vous plaît (ntm: si vous êtes maso) suivez l'actualité du blog et lisez les autres articles. Bien à vous, Axman et Tamerlan, pour votre plus grand déplaisir.




Big fan: Ouais, c'est ça bande de cons ! Et le grand Toruk alors ?
Axman: Bah, c'est Flit le colibri, les mecs.
Tamerlan: Euh... Il y a un problème dans ton raisonnement, et il est de taille !
Big fan: Merde. Très bien. Et Norm Spellman alors, c'est qui ? Ta mère ?
Axman: Non, mais par contre c'est Meeko, évidement.
Tamerlan: Euh attends, Ax, qu'est-ce que t'as pris là ? Faut partager vite fait.